Sa situation me touche au plus haut point, et tous les jours j'évalue la chance que j'aie de voir vivre mes enfants, de leur parler, de les toucher, de les embrasser, choses qu'elle ne pourra peut-être plus refaire de sa vie.
Le combat pour sa libération est difficile, mais la pire des choses serait l'oubli, alors bravo à la mairie de Paris pour son affichage permanent sur la façade de l'hôtel de ville.